Alors que l’acquisition à crédit d’actions ou de parts sociales par un particulier ne s’assortit d’aucune possibilité de déduction des intérêts d’emprunt, et que l’achat dans les mêmes conditions d’un immeuble à usage de résidence principale de son propriétaire n’offre plus d’avantage fiscal, le traitement des intérêts d’emprunt dans la catégorie des revenus fonciers reste pleinement attractif.
Mais si les principes sont clairs (I), ils ne sont pas toujours facilement transposables aux pratiques de crédit actuelles (II).